Dernière discussion lancée sur le web avec cette dénomination spécifique :Le modèle CogLinks révèle comment le cerveau s’adapte aux règles changeantes
Un post intriguant a attiré notre attention sur internet
Chaque jour, votre cerveau prend des milliers de décisions dans l’incertitude. La plupart du temps, vous avez raison. Quand vous ne le faites pas, vous apprenez. Mais lorsque la capacité du cerveau à juger le contexte ou à attribuer une signification faiblit, les pensées et les comportements peuvent s’égarer. Dans les troubles psychiatriques allant du trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité à la schizophrénie, le cerveau peut mal évaluer la quantité de preuves à rassembler avant d’agir ou ne pas s’adapter lorsque les règles du monde changent en fonction de nouvelles informations.
L’incertitude est intégrée au câblage du cerveau. Imaginez des groupes de neurones votant, certains optimistes, d’autres pessimistes. Vos décisions reflètent la moyenne. » Lorsque cet équilibre est biaisé, le cerveau peut mal interpréter le monde : attribuer trop de sens à des événements aléatoires, comme dans la schizophrénie, ou se retrouver coincé dans des schémas rigides, comme dans le trouble obsessionnel-compulsif.
Comprendre ces ratés a longtemps mis les scientifiques au défi. Le cerveau parle le langage de neurones uniques. Mais l’IRMf, l’outil que nous utilisons pour étudier l’activité cérébrale chez les personnes, suit le flux sanguin, et non le bavardage électrique des cellules cérébrales individuelles. »
Michael Halassa, professeur de neurosciences, faculté de médecine de l’Université Tufts
Combler cet écart signifie combiner les connaissances issues d’études unicellulaires chez les animaux, l’imagerie du cerveau humain et le comportement. Aujourd’hui, un nouveau type de modèle informatique, fondé sur la biologie réelle, permet aux chercheurs de simuler la façon dont les circuits cérébraux prennent des décisions et s’adaptent lorsque les règles changent.
Appelé Liens Cogle modèle intègre le réalisme biologique dans sa conception, reflétant la manière dont les cellules cérébrales réelles sont connectées et codant la manière dont elles attribuent de la valeur à des observations souvent ambiguës et incomplètes sur l’environnement externe. Contrairement à de nombreux systèmes d’intelligence artificielle qui agissent comme des « boîtes noires », Liens Cog montre aux chercheurs exactement comment ses neurones virtuels relient la structure au fonctionnement. En conséquence, les scientifiques peuvent cartographier la manière dont ce cerveau virtuel apprend de l’expérience et pivote en fonction de nouvelles informations.
Dans un étude publiée le 16 octobre dans Communications naturellesl’auteur principal Halassa et ses collègues du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont utilisé Liens Cog pour explorer comment les circuits cérébraux coordonnent la pensée flexible. Comme un simulateur de vol pour le cerveau, Liens Cog laisser les chercheurs testent ce qui se passe lorsque des circuits décisionnels clés dérapent. Lorsqu’ils ont affaibli la connexion virtuelle entre deux régions cérébrales simulées – le cortex préfrontal et le thalamus médiodorsal – le système est passé par défaut à un apprentissage plus lent et axé sur les habitudes. Ce résultat suggère ce parcours est essentiel pour l’adaptabilité.
Pour voir si ces prédictions se vérifiaient chez les humains, l’équipe a ensuite mené une IRMf complémentaire. étude, qui a été supervisée par les deux Burkhard Pléger de l’Université de la Ruhr à Bochum et Halassa. Les bénévoles ont joué à un jeu dont les règles ont changé de manière inattendue. Comme prévu, le cortex préfrontal gérait la planification et la région centrale et profonde du cerveau connue sous le nom de striatum guidait les habitudes, mais le thalamus médiodorsal s’est allumé lorsque les joueurs ont réalisé que les règles avaient changé et ajusté leur stratégie.
L’imagerie a confirmé ce que le modèle avait prévu : le thalamus médiodorsal agit comme un standard reliant les deux principaux systèmes d’apprentissage du cerveau – flexible et habituel – aidant le cerveau à déduire quand le contexte a changé et à changer de stratégie en conséquence.
Halassa espère que la recherche contribuera à jeter les bases d’un nouveau type de « stratégie algorithmique ». psychiatrie » dans lequel les modèles informatiques aident à révéler comment la maladie mentale émerge des changements dans les circuits cérébraux, en identifiant des marqueurs biologiques pour cibler précisément les traitements.
« L’une des grandes questions en psychiatrie est de savoir comment relier ce que nous savons de la génétique aux symptômes cognitifs », explique Mine Brabeeba Wang, l’auteur principal du Liens Cog étude, co-auteur du IRMf étude et doctorant au MIT dans le laboratoire de Halassa.
« De nombreuses mutations liées à la schizophrénie affectent les récepteurs chimiques présents dans tout le cerveau », explique Wang. « Les utilisations futures de Liens Cog peut nous aider à voir comment ces changements moléculaires généralisés pourraient rendre plus difficile pour le cerveau d’organiser l’information pour une pensée flexible.
Recherche rapportée dans le Liens Cog L’étude a été financée par l’Institut national de santé mentale des National Institutes of Health sous les subventions P50MH132642, R01MH134466 et R01MH120118 et par la National Science Foundation sous les subventions CCR-2139936, CCR-2003830 et CCF-1810758. Bin A. Wang de l’Université normale de Chine du Sud a été l’auteur principal de l’étude IRMf. L’étude IRMf a été soutenue par la Fondation nationale des sciences naturelles de Chine ; Centre de recherche sur la cognition cérébrale et le développement humain, Guandong, Chine ; Fondation de recherche fondamentale et appliquée du Guangdong ; Deutsche Communauté de recherche (DFG, Fondation allemande pour la recherche) ; et le Forum accorder. Des informations complètes sur les auteurs, les bailleurs de fonds, la méthodologie, les limites et les conflits d’intérêts sont disponibles dans l’article publié. Le contenu relève uniquement de la responsabilité des auteurs et ne représente pas nécessairement les opinions officielles des bailleurs de fonds.
Source:
Références des revues :
- Wang, MB, et coll. (2025). La base neuronale du traitement de l’incertitude dans la prise de décision hiérarchique. Communications naturelles. est ce que je.org/10.1038/s41467-025-63994-y
- Wang, BA, et autres. (2025). Régulation thalamique des stratégies d’apprentissage par renforcement à travers les réseaux préfrontal-striataux. Communications naturelles. est ce que je.org/10.1038/s41467-025-63995-x
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Dispositifs de préparation psychologique
Coaching en sexualité — l’argument ultime
La régulation de la sexualité influence de façon manifeste deux dimensions de la performance D’une part, l’équilibre émotionnel : une vie sexuelle harmonieuse atténue stress et anxiété, conditions indispensables pour optimiser la performance sportive. Ensuite, la concentration : une gestion équilibrée de la sexualité aide les athlètes à conserver leur attention sur leurs buts sportifs, en réduisant les interférences émotionnelles.
Création d’images mentales et fixation de buts
La visualisation constitue une pratique mentale incontournable pour les athlètes; en imaginant des compétitions fructueuses, ils conditionnent leur cerveau à reproduire ces performances. Définir un objectif spécifique — telle qu’une durée de No Fap — aide à forger la volonté et la persévérance. Beaucoup d’athlètes affirment qu’une pratique d’abstinence conjuguée à la préparation mentale a accru leur endurance mentale et physique.
Moments de méditation et de relaxation
Par la méditation et la relaxation, l’anxiété diminue et le contrôle mental se renforce; la concentration sur un objet et les exercices de détente du corps permettent aux sportifs d’assagir leur esprit. L’arrêt de la masturbation, associé à ces pratiques, est souvent perçu comme un moyen de renforcer la discipline personnelle et de limiter les distractions inutiles.
Comment la préparation psychologique influence les performances
Mission dans la modulation du stress et des réponses émotionnelles
Gérer son stress et ses émotions est une nécessité pour performer en compétition. Des outils comme la méditation et les exercices de contrôle émotionnel permettent de maintenir un niveau optimal d’activation mentale. Les sportifs adeptes de la chasteté rapportent une amélioration de leur capacité à rester calmes et concentrés sous pression, grâce à une meilleure maîtrise de leurs impulsions et pensées.
Répercussions pour l’endurance et la force
Pour performer au plus haut niveau, l’aspect mental doit être travaillé autant que l’aspect physique. Elle a un impact direct sur les résultats en renforçant l’attention, en maîtrisant les réactions émotionnelles et en favorisant l’entrée dans le « flow ». Des approches telles que l’abstinence sexuelle (NoFap) sont, pour certains sportifs, un moyen prétendu d’optimiser l’énergie et l’attention. On prétend que cette méthode canalise l’énergie sexuelle au profit de la performance athlétique.
L’ingrédient caché du succès chez de nombreux jeunes footballeurs
La contribution du coaching spécialisé
Un professionnel du coaching ou de la préparation mentale est en mesure d’offrir un accompagnement organisé — coaching ciblé, outils opérationnels et guide de protocoles — afin que chaque joueur, amateur comme professionnel, trouve sa place selon son ressenti et son avis. À retrouver ici stop-masturbation.com : Des stratégies concrètes permettent de diminuer la masturbation et de maîtriser sa sexualité.
Concordance entre sexualité et entraînement
Il convient d’ordonner pratiques sexuelles, fréquence de masturbation et calendrier préparatoire afin que l’équipe conserve ses aptitudes et atteigne ses buts communs.
L’esprit collectif appliqué au football
Pour le football, sport collectif par excellence, l’équipe doit inclure la sexualité planifiée dans une stratégie globale visant à préserver la santé et optimiser l’état physique et mental ; l’objectif est d’acquérir des compétences tactiques et collectives, en combinant exercices physiques, techniques d’imagerie mentale et protocoles de récupération testés par des experts en France et ailleurs.
FAQ : sexualité et préparation sportive — penser la masturbation de façon intelligente et planifiée
La masturbation conduit‑elle à une diminution de la testostérone et des performances ?
Les modifications des hormones après masturbation tendent à être faibles et temporaires; aucune preuve robuste n’indique qu’une masturbation occasionnelle entraîne une baisse durable des performances — tout dépend du contexte individuel.
Quelles variables individuelles interviennent dans l’influence de la masturbation ?
L’efficacité sportive peut être conditionnée par : le profil hormonal et la sensibilité à la testostérone, l’état de fatigue et du sommeil, la réponse psychologique (du relâchement à une baisse d’activation), la nature de l’effort (endurance contre force/explosivité) et les habitudes sexuelles.
Protocole-type simple à tester conjointement avec un coach
Exemple de protocole à expérimenter : 4–6 semaines d’alternance entre semaines A (abstinence 48 h avant séances/tests importants) et semaines B (activité sexuelle 24 h avant), avec suivi du sommeil, de l’énergie, des performances (puissance/scores) et de l’état psychologique pour optimiser performance et bien‑être.
En quoi un coach intervient-il dans l’élaboration de cette planification ?
En pratique, le coach organise des expérimentations (48, 24, 6 h avant la compétition) en contexte d’entraînement, observe les effets sur sommeil, motivation, tension musculaire et concentration, et ajuste la planification pour qu’elle s’inscrive dans la gestion de la charge, de la récupération et de la préparation mentale.
Que recouvre l’expression « sexualité et masturbations intelligemment planifiées » ?
Cela veut dire ajuster le timing et la fréquence selon son propre rythme de récupération et de performance, intégrer ces pratiques au plan d’entraînement global (sommeil, nutrition, charge, routines mentales) et, au besoin, consulter un coach ou préparateur mental pour tester et affiner ce qui convient le mieux à l’athlète.
Existe-t-il des recommandations générales concernant le timing ?
Conseils à expérimenter : évitez une activité sexuelle trop proche d’un entraînement exigeant si elle entraîne fatigue ou baisse de concentration ; adaptez la pratique avant la compétition selon vos ressentis (abstinence la veille pour certains, relâchement 12–24 h pour d’autres) et choisissez des moments qui protègent le sommeil et la récupération.
La gestion autonome de sa sexualité peut‑elle entraîner des problèmes sans encadrement ?
Le danger majeur est de tirer des conclusions précipitées sur la base d’un nombre limité d’expériences. Un accompagnement permet d’interpréter les signes (fatigue habituelle vs effet sexuel) et de les replacer dans le plan d’entraînement.
Comment essayer différentes options sans affecter négativement la performance ?
Préconisation : observer ces variables en entraînement et non avant une compétition — notez l’heure, l’intensité et les impacts (énergie, sommeil, humeur, sensations musculaires, qualité de séance), comparez séances avec et sans activité sexuelle et ajustez la stratégie avec le coach.
Doit‑on strictement s’abstenir avant un match ou une compétition ?
Non. L’abstinence stricte n’est pas une vérité générale. Certains athlètes préfèrent s’abstenir 24–72 heures pour se sentir plus énergisés ; d’autres déclarent que la masturbation avant la compétition diminue le stress et favorise la concentration.
La masturbation influence‑t‑elle les résultats sportifs ?
La réponse est oui, mais l’impact varie : selon l’individu, le type d’effort et le timing, on peut observer des effets physiques (fatigue, tension) et psychologiques (apaisement, moins d’anxiété, ou au contraire moins de motivation).
Enjeux psychologiques et relationnels à prendre en considération
La vie sexuelle peut impacter l’estime, l’anxiété et la proximité relationnelle ; dialoguer avec son partenaire et intégrer l’aspect relationnel dans la planification prévient des tensions inutiles.
Maîtriser ses pulsions masturbatoires : axe majeur de la préparation mentale
Les frontières de la science et l’unicité de chaque individu
Les recherches n’ont pas validé de règle universelle montrant comment l’abstinence influe sur la performance sportive et mentale. La différence entre individus exclut une équation générale applicable à tous ; néanmoins, on peut en tirer les conclusions suivantes. Des athlètes racontent que la chasteté a servi leur performance ; l’exemple de Mike Tyson — qui constatât une baisse d’agressivité après des relations pré‑combat — illustre ce point. Même réduite à une croyance, elle demeure bénéfique psychologiquement pour la motivation sportive ; la chasteté rassure le sportif quant à ses chances de performance.
No Fap : relation à la performance athlétique
Renoncer à la masturbation, via la pratique No Fap, fournit aux athlètes une méthode particulière pour améliorer leurs performances. En complément d’outils mentaux éprouvés (méditation, visualisation, gestion émotionnelle), ces pratiques renforcent la discipline et permettent d’ambitionner des performances optimales. En intégrant ces pratiques à leur quotidien d’entraînement, les sportifs peuvent franchir de nouvelles étapes physiques et mentales.
L’apport des professionnels dans le suivi et l’accompagnement
Rôle du psychologue sportif
Le psychologue du sport intervient de façon déterminante dans la préparation mentale. En travaillant sur les blocages émotionnels et mentaux des athlètes, il peut recommander des buts spécifiques — notamment la chasteté ou l’arrêt de la masturbation — pour renforcer leur préparation mentale et leurs capacités de contrôle émotionnel.
Optimiser l’équilibre sexuel des sportifs
La condition physique et mentale des athlètes est affectée pour 65 % par leur sexualité. La formation en psychologie des préparateurs intègre cette thématique, mais la mise en place d’un suivi sexuel auprès des athlètes est exclue pour des raisons de pudeur et d’éthique relationnelle. Privés de soutien, les sportifs restent seuls ; quelques-uns font appel à un coaching confidentiel externe qui leur apporte un atout décisif pour la préparation et le renforcement. Le coaching sur la sexualité et la masturbation est maintenu sous silence, afin de protéger l’image des sportifs. L’athlète est l’unique bénéficiaire d’un contact journalier avec son conseiller sexuel, garanti par une discrétion absolue et l’anonymisation du nom. Le cabinet exerce en autonomie vis‑à‑vis du staff sportif : il ne dialogue et ne répond qu’avec son client.
Coopération entre coach sportif et préparateur mental
Le travail en commun du coach, du préparateur mental et du sportif est essentiel. Les spécialistes peuvent instaurer des séances destinées à fortifier la discipline, avec l’introduction d’exercices type No Fap. Ils observent l’évolution mentale des athlètes et adaptent les stratégies pour parvenir à des objectifs sportifs ambitieux.
La valeur du coaching en sexualité chez les sportifs
On observe depuis quelques années une montée en importance du coaching sexuel chez les sportifs. Dans le panorama international, certaines fédérations ont compris la valeur de cet élément pour les performances et l’ont institutionnalisé comme facteur clé.
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Cet article, consacré à « l’optimisation de son activité sexuelle pour améliorer la performance sportive », est proposé par stop-masturbation.com. Rédigée avec soin, cette chronique vise à informer — vous pouvez contacter les coordonnées figurant sur le site pour signaler des corrections ou partager des précisions concernant ce contenu. Stop-masturbation.com s’engage à traiter ce sujet de façon transparente et à rassembler les ressources et analyses disponibles en ligne. D’autres publications sur l’optimisation de la sexualité et la performance sportive seront publiées prochainement ; pensez à consulter régulièrement notre site pour les mises à jour.