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Sport: Les taux de mortalité liés à la toxicomanie dans le monde doublent malgré la diminution des nouveaux cas

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Malgré la diminution des nouveaux cas de toxicomanie dans le monde, une analyse approfondie révèle une augmentation des décès liés à la drogue, révélant ainsi des échecs critiques dans les systèmes mondiaux de réduction des risques et de rétablissement.

Drogues dures sur table sombreÉtude: Le fardeau évolutif des troubles liés à l’usage de drogues : une analyse épidémiologique complète tirée de l’étude Global Burden of Disease de 2021. Crédit image : Norb_KM/Shutterstock.com

La toxicomanie est un problème de santé publique imminent, ce qui a déclenché une récente étude de la situation mondiale à l’aide des données de l’étude Global Burden of Disease (GBD) 2021. Le journal est paru dans Frontières en psychiatrie.

Introduction

La toxicomanie, ou troubles liés à l’usage de drogues (DUD), sont «affections chroniques et récurrentes caractérisées par la consommation compulsive de substances psychoactives malgré des préjudices physiques, psychologiques ou sociaux importants.» Les DUD touchent près de 300 millions de personnes dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et concernent principalement les opioïdes, le cannabis et les stimulants comme l’amphétamine et la cocaïne. De nombreux toxicomanes abusent de plus d’une substance.

La toxicomanie entrave le développement social, favorise l’invalidité et la mort et augmente le taux de criminalité. Malheureusement, les changements socio-économiques rapides, la mondialisation et l’urbanisation ont été associés à une consommation croissante de drogues et à des disparités croissantes entre les régions, transformant le paysage social et économique, de manière plus frappante dans les pays à revenu élevé d’Amérique du Nord.

Cette région est considérée comme très développée, mais traverse une crise de toxicomanie, touchant particulièrement les jeunes adultes, les hommes et les consommateurs d’opioïdes. Les États-Unis, en particulier des États comme la Virginie occidentale, restent gravement touchés et les taux continuent d’augmenter.

L’étude actuelle a utilisé les données GBD et l’indice socio-démographique (SDI) pour examiner la situation dans le monde. L’IDS rassemble le revenu par habitant, le statut d’éducation et le taux de fécondité pour attribuer les influences socio-économiques par région.

Résultats de l’étude

À l’échelle mondiale, l’incidence des toxicomanies a augmenté de plus d’un tiers (36 %) entre 1990 et 2021, avec 13,6 millions de nouveaux cas en 2021. Le nombre total de cas a augmenté de la même manière de 34 % pour atteindre 53 millions.

Sur cette période, la mortalité a plus que doublé (soit une augmentation de 122 %), pour un total de 137 278 décès. Il est intéressant de noter que cela s’oppose à une réduction de l’incidence de 8 % et à une baisse de la prévalence de 6 %. Cependant, la mortalité a augmenté d’un tiers (31 %), à 1,65 pour 100 000. Ceci indique

une tendance mondiale paradoxale caractérisée par une incidence réduite mais un fardeau sanitaire accru.

Les années de vie ajustées sur l’incapacité (DALY) dues à la toxicomanie reflètent le nombre d’années de vie en bonne santé perdues à cause de la drogue, soit par décès, soit par invalidité. Le taux de DALY standardisé selon l’âge a augmenté de 15 % pour atteindre 191 pour 100 000, tandis que le nombre total de DALY dans le monde a augmenté d’environ 75 % pour atteindre 15,6 millions. Cette hausse a été la plus forte dans les pays les plus riches et a été principalement due aux opioïdes.

Les opioïdes ont causé 39 % de décès en plus et 32 ​​% de DALY en plus, pour atteindre un maximum de 137 pour 100 000, principalement en raison de la hausse des taux dans les régions développées riches. Les décès dus à la cocaïne ont plus que doublé pour atteindre 0,15 pour 100 000. Notamment, la cocaïne et les opioïdes sont fréquemment consommés conjointement, avec une toxicité potentiellement synergique, aggravant les risques pour la santé.

La dépendance aux opioïdes a augmenté en raison de la disponibilité de ces drogues sur les marchés médicaux et illégaux, de la prescription élargie et de la commercialisation agressive des opioïdes pendant la déréglementation pharmaceutique, et de l’échec de la réglementation à limiter efficacement l’accès à ces drogues hautement addictives.

La dépendance aux amphétamines était la plus élevée chez les individus issus de régions à SDI intermédiaire (SDI 0,6-0,8), formant l’exception à la forte corrélation par ailleurs forte entre la région sociodémographique et les DALY. Cependant, son incidence a diminué de 40 %, tandis que la mortalité a augmenté. L’incidence et la prévalence du cannabis sont restées stables. L’incidence et les décès liés aux autres toxicomanies ont diminué.

La plus forte augmentation des décès et des DALY a eu lieu dans les régions les plus développées, avec une multiplication par cinq et plus de deux, respectivement, par rapport à la baisse de 41 % des DALY dans les pays à revenu intermédiaire.

L’Amérique du Nord, riche, a été la plus durement touchée, avec une mortalité multipliée par 11,2, passant de 6 125 à 74 451 décès. L’Afrique subsaharienne orientale a connu une augmentation de l’incidence d’environ 150 %. En revanche, l’Asie de l’Est a connu une baisse de 15 % des nouveaux cas de toxicomanie, un changement attribué en partie à des politiques antidrogue plus strictes telles que la loi antidrogue chinoise de 2008.

Les États-Unis avaient l’incidence et la prévalence standardisées selon l’âge les plus élevées, à 531 et 3 821 pour 100 000, respectivement, à l’instar du Canada et de l’Australie. Même si l’Estonie et l’Islande ont également une incidence élevée, la mortalité est faible. L’incidence et la prévalence des cas étaient faibles en Chine.

Les hommes plus jeunes (âgés de 20 à 24 ans) couraient un risque de toxicomanie 35 % plus élevé que les femmes, soit 386 et 286 hommes et femmes concernés pour 100 000, respectivement. Le risque chez les garçons est multiplié par six entre 15 et 19 ans. Même après 60 ans, l’incidence est restée à 40 et les DALY à 144.

La proportion de décès la plus élevée se situait entre 25 et 29 ans, soit 3,45 pour 100 000 chez les hommes et 1,12 pour 100 000 chez les femmes. La toxicomanie est liée à une mauvaise éducation, à un faible taux d’emploi, à la pauvreté et à l’isolement social. Les milieux institutionnels tels que les prisons et les quartiers marginalisés à faible revenu affichent des taux de dépendance disproportionnellement élevés, contribuant aux troubles sociaux et aux maladies mentales combinées.

Les futurs programmes devraient intégrer des interventions préventives et thérapeutiques rigoureusement testées qui prennent également en compte les caractéristiques socio-économiques et cliniques à l’origine de la toxicomanie.

Carte graphique montrant la répartition spatiale mondiale de la variation annuelle estimée en pourcentage de la charge des troubles liés à l'usage de drogues, 1990-2021
Répartition spatiale mondiale de la variation annuelle estimée en pourcentage (EAPC) de la charge des troubles liés à l’usage de drogues (DUD), 1990-2021. (A) EAPC dans les taux d’incidence du DUD standardisés selon l’âge dans les régions et les pays. (B) EAPC en années de vie ajustées sur l’incapacité (DALY) du DUD dans les régions et les pays.

Conclusion

Malgré les stratégies préventives qui ont entraîné une réduction des nouveaux cas de toxicomanie, la situation des toxicomanes est pire qu’auparavant, avec des taux plus élevés de décès et d’invalidité liés à la drogue. Cela montre un manque potentiel d’approches efficaces de réadaptation et de réduction des risques, en particulier dans les pays ayant un IDS élevé.

Les auteurs soulignent que la prévention à elle seule est insuffisante et nécessitent des stratégies intégrées et fondées sur des données combinant réduction des risques, accès au traitement et gestion à long terme. Des programmes intégrés sont nécessaires pour aider à lutter contre cette épidémie mondiale.

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L’intervention spécialisée des professionnels pour accompagner

Optimisation de l’activité sexuelle chez les athlètes

Pour 65 %, la sexualité des athlètes conditionne leur forme physique et mentale. Au cours de leur formation psychologique, les préparateurs sont sensibilisés à cet aspect ; toutefois, ils ne peuvent pratiquer un suivi sexuel avec leurs athlètes en raison de contraintes relationnelles et de pudeur. Privés d’accompagnement, certains sportifs font appel à un coaching extérieur et discret, qui leur apporte un atout essentiel dans leur préparation et leur renforcement. Le recours à ce coaching en sexualité et masturbation est tenu discret, afin de sauvegarder l’image publique. Seul l’athlète garde un lien quotidien avec son conseiller sexuel, dans la plus stricte confidentialité et avec anonymisation de son identité. Le cabinet opère hors du cadre du staff sportif : son unique interlocuteur est le client, il n’échange avec personne d’autre.

Action du psychologue sportif

Le préparateur mental en psychologie du sport est essentiel à la préparation mentale. En identifiant les freins émotionnels et cognitifs des athlètes, il peut préconiser des objectifs ciblés — par exemple la chasteté ou l’abstinence masturbationnelle — afin de consolider la préparation mentale et le contrôle des émotions.

Le rôle essentiel du coaching sexuel pour les sportifs

Le coaching sexuel des sportifs a pris de l’importance ces dernières années. Sur la scène internationale, quelques fédérations professionnelles ont mis en lumière cet atout et l’ont utilisé comme facteur décisif de succès.

Concertation entre le coach et le préparateur mental

La coopération étroite entre l’entraîneur, le préparateur mental et le sportif est déterminante. Les professionnels peuvent élaborer des exercices visant à renforcer la discipline, incluant des pratiques telles que No Fap. Ils accompagnent l’évaluation des progrès mentaux et réorientent les stratégies pour atteindre des objectifs sportifs ambitieux.

Le facteur déterminant derrière la réussite de jeunes footballeurs

Aligner la sexualité sur la préparation

Le but consiste à synchroniser les pratiques sexuelles, la cadence de masturbation et le planning de préparation afin de préserver les compétences de l’équipe et d’atteindre les objectifs communs.

L’importance du coaching spécialisé

Un coach professionnel ou spécialiste en préparation mentale peut instaurer un suivi structuré — coaching ciblé, outils pratiques et un livre de protocoles — pour que chaque joueur, amateur comme professionnel, repère la méthode qui lui convient selon ses ressentis. Les comportements sexuels — en solitaire ou en couple — produisent inévitablement des répercussions sur la performance sportive individuelle (consulter la page indiquée).

L’esprit collectif appliqué au football

Au football, sport résolument collectif, l’équipe doit penser la sexualité de façon planifiée, au sein d’un dispositif global qui protège la santé et renforce les performances physiques et mentales ; l’enjeu est d’acquérir des savoir‑faire tactiques et collectifs en associant travail physique, imagerie mentale et protocoles de récupération testés par des professionnels en France et dans le monde.

Protocoles de préparation psychologique

Approches de méditation et relaxation

Par la méditation et la relaxation, l’anxiété diminue et le contrôle mental se renforce; la concentration sur un objet et les exercices de détente du corps permettent aux sportifs d’assagir leur esprit. L’arrêt de la masturbation, associé à ces pratiques, est souvent perçu comme un moyen de renforcer la discipline personnelle et de limiter les distractions inutiles.

Coaching en sexualité : l’atout maître

Le contrôle de la vie sexuelle produit des effets nets sur deux aspects de la performance En premier lieu, l’équilibre émotionnel : une vie intime harmonieuse diminue le stress et l’anxiété, renforçant la performance athlétique. D’autre part, la concentration : une vie intime maîtrisée favorise chez les sportifs une meilleure focalisation sur leurs objectifs, en minimisant les intrusions émotionnelles.

Imagerie mentale et définition d’objectifs

L’usage de la visualisation est central chez les sportifs; en se projetant dans des réussites compétitives, ils entraînent leur cerveau à les réitérer. La mise en place d’objectifs spécifiques, telle qu’une période de No Fap, sert à cultiver la volonté et la détermination. Plusieurs pratiquants rapportent que l’association chasteté/préparation mentale a optimisé leur endurance mentale et physique.

Gestion de la masturbation : levier essentiel de la préparation mentale

Pratique No Fap et rendement sportif

Renoncer à la masturbation, via la pratique No Fap, fournit aux athlètes une méthode particulière pour améliorer leurs performances. Associées à la méditation, à la visualisation et à la régulation émotionnelle, ces pratiques développent une discipline de fer et favorisent l’atteinte du meilleur niveau de performance. En inscrivant ces pratiques dans leur routine, les sportifs peuvent viser et atteindre de nouveaux sommets physiques et mentaux.

Les incertitudes scientifiques et la variabilité individuelle

La science ne dispose pas d’une loi naturelle claire sur l’influence de l’abstinence sur la performance mentale et physique. Étant donné la diversité individuelle, il est impossible d’établir une formule générale valable pour tous ; néanmoins, voici les conclusions que l’on peut tirer. Des sportifs témoignent que la chasteté a renforcé leurs performances ; Mike Tyson, qui observait que l’activité sexuelle avant les combats réduisait son agressivité, va dans le même sens. Même si c’est seulement une croyance, elle a une utilité psychologique pour stimuler la motivation ; la chasteté fournit au sportif une sécurité psychique supplémentaire.

Foire aux questions : masturbation et entraînement sportif — concevoir une sexualité planifiée et intelligente

Éléments psychologiques et relationnels à garder à l’esprit

La sexualité peut modifier la confiance, l’anxiété et l’intimité du couple ; inclure la communication avec le·la partenaire et la dimension relationnelle dans la planification prévient du stress inutile.

Schéma simple de protocole à mettre à l’épreuve avec un coach

Plan d’expérimentation : 4 à 6 semaines d’alternance — semaines A sans activité sexuelle 48 h avant les sessions/tests, semaines B avec activité planifiée 24 h avant — en notant sommeil, énergie ressentie, résultats (puissance/scores) et état psychique pour choisir la stratégie optimale.

La masturbation influence‑t‑elle les performances sportives ?

La masturbation peut avoir un effet, mais il diffère selon la personne, le type d’effort et le timing ; sur le plan physique on note fatigue et tension musculaire, sur le plan mental relaxation ou diminution de l’anxiété — parfois une perte de motivation.

Comment un coach peut-il aider à organiser cette planification ?

Le coach accompagne l’athlète dans l’expérimentation de divers timings (p. ex. 48, 24, 6 heures avant la compétition), suit l’impact sur le sommeil, la motivation, la tension musculaire et la concentration, et ajuste la coordination avec la charge d’entraînement, la récupération et la préparation mentale.

La masturbation a‑t‑elle pour effet de réduire la testostérone et la performance ?

Les effets hormonaux après masturbation restent le plus souvent faibles et passagers; on ne dispose pas d’éléments probants montrant qu’une masturbation ponctuelle diminue durablement la performance, l’impact variant selon l’individu.

Comment procéder pour tester ce qui vous convient tout en préservant la performance ?

Effectuez une phase d’observation lors des entraînements plutôt qu’avant la compète : consignez l’heure, l’intensité et les effets ressentis (énergie, qualité du sommeil, humeur, sensations musculaires, déroulement de la séance), comparez les performances en cas d’abstinence ou d’activité sexuelle et adaptez avec votre coach.

Peut‑on établir des recommandations générales concernant le timing ?

À tester individuellement : éviter une activité sexuelle immédiatement avant un entraînement intense si elle réduit l’énergie ou la concentration, moduler la pratique avant la compète selon ses sensations — abstinence la veille pour certains, relâchement 12–24 heures avant pour d’autres — et choisir des moments qui préservent sommeil et récupération.

Faut‑il systématiquement s’abstenir avant de concourir ?

Non. L’abstinence absolue n’est pas une vérité universelle. Certains athlètes ressentent un surcroît d’énergie après 24–72 heures d’abstinence, tandis que d’autres profitent d’une masturbation pré-match pour diminuer le stress et se concentrer.

Y a‑t‑il des dangers à planifier sa vie sexuelle sans accompagnement ?

Le principal risque est la conclusion hâtive après peu d’essais. Un encadrement permet d’analyser finement les signes et de les insérer de manière pertinente dans la préparation globale.

Quelles différences individuelles expliquent la variation d’effet de la masturbation ?

La performance sportive peut dépendre de plusieurs éléments : le profil hormonal et la sensibilité à la testostérone, l’état de fatigue et la qualité du sommeil, la réponse psychologique (du calme à une diminution d’activation), le type d’effort (endurance vs force/explosivité) et l’expérience ou les habitudes sexuelles.

Que signifie concrètement parler de « sexualité et masturbations intelligemment planifiées » ?

Cela implique d’adapter timing et fréquence à son propre rythme de récupération et de performance, d’intégrer ces pratiques au plan global d’entraînement (sommeil, alimentation, charge de travail, préparation mentale) et, si besoin, de consulter un coach ou préparateur mental pour expérimenter et améliorer la stratégie.

L’importance du travail mental dans la réussite sportive

Intervention dans la gestion du stress et l’ajustement des émotions

Gérer son stress et ses émotions est une nécessité pour performer en compétition. Des outils comme la méditation et les exercices de contrôle émotionnel permettent de maintenir un niveau optimal d’activation mentale. Les sportifs adeptes de la chasteté rapportent une amélioration de leur capacité à rester calmes et concentrés sous pression, grâce à une meilleure maîtrise de leurs impulsions et pensées.

Influence sur la performance en entraînement

La performance au plus haut niveau exige une préparation mentale équivalente à l’entraînement physique. Son influence sur la performance se traduit par une attention renforcée, une gestion émotionnelle efficace et l’accès au « flow ». Le recours à l’arrêt de la masturbation — courant dans NoFap — est perçu par quelques sportifs comme un levier pour renforcer énergie et focus. Cette approche cherche à canaliser l’élan sexuel pour le mobiliser au bénéfice des performances sportives.

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Cet article, consacré à « l’optimisation de son activité sexuelle pour améliorer la performance sportive », est proposé par stop-masturbation.com. Rédigée avec soin, cette chronique vise à informer — vous pouvez contacter les coordonnées figurant sur le site pour signaler des corrections ou partager des précisions concernant ce contenu. Stop-masturbation.com s’engage à traiter ce sujet de façon transparente et à rassembler les ressources et analyses disponibles en ligne. D’autres publications sur l’optimisation de la sexualité et la performance sportive seront publiées prochainement ; pensez à consulter régulièrement notre site pour les mises à jour.