Dernière mise à jour sur internet sous ce titre précis :Explorer le lien entre l’insuffisance pondérale et la composition du microbiote intestinal chez les femmes japonaises
Un post intriguant a attiré notre attention sur internet
Le faible poids corporel chez les jeunes femmes a été associé à une série de problèmes de santé, notamment des cycles menstruels perturbés, l’infertilité, un affaiblissement de la fonction immunitaire et un déclin à long terme de la densité osseuse. Le Japon a connu une tendance à la hausse de la proportion de femmes souffrant d’insuffisance pondérale entre 20 et 39 ans, avec peu ou pas de changement au cours des deux dernières décennies. La persistance de cette tendance soulève les inquiétudes concernant les implications à long terme sur la santé, d’autant plus que le poids corporel maigre a été corrélé à des changements d’habitudes alimentaires, à des maladies comme l’anorexie mentale et même à des déséquilibres du microbiote intestinal. Alors que des recherches antérieures ont signalé une diversité alpha du microbiote intestinal plus faible dans les catégories d’insuffisance pondérale et de surpoids par rapport à celles ayant un poids normal, les différences dans la diversité du microbiote intestinal chez les jeunes femmes japonaises souffrant d’insuffisance pondérale restent floues.
Pour approfondir cette question, une équipe de chercheurs japonais, dirigée par le Dr Katsumi Iizuka, professeur au Département de nutrition clinique de l’Université de santé de Fujita, au Japon, et le Dr Hiroaki Masuyama, Symbiosis Solutions Inc., a entrepris d’étudier le lien entre le type corporel, les habitudes alimentaires et la diversité du microbiote intestinal chez les jeunes femmes japonaises souffrant d’insuffisance pondérale. Ils se sont attachés à comprendre si la diversité du microbiote intestinal différait de manière significative entre les femmes souffrant d’insuffisance pondérale et celles ayant un indice de masse corporelle (IMC) normal. Leurs recherches ont été publiées dans le volume 17, numéro 20 de la revue Nutriments le 17 octobre 2025. Le professeur Iizuka dit : «Les différences dans la diversité du microbiote intestinal des jeunes femmes japonaises en fonction du poids corporel n’ont pas été étudiées. Si les différences dans le microbiote intestinal entre les jeunes femmes minces et les femmes de poids normal deviennent claires, je crois que l’amélioration des habitudes alimentaires pourrait conduire à des améliorations du microbiote intestinal et, par conséquent, du poids corporel. »
L’étude a observé et comparé 40 femmes présentant une insuffisance pondérale à 40 femmes du même âge, âgées de 20 à 39 ans. Le groupe présentant une insuffisance pondérale comprenait des femmes qui avaient été orientées vers la clinique de nutrition de l’Université de santé Fujita avec un IMC inférieur à 17,5 lors de leur première consultation, tandis que le groupe témoin était composé de femmes ayant un IMC normal (18,5 ≤ IMC).
Il est intéressant de noter que les chercheurs n’ont trouvé aucune différence significative dans les habitudes alimentaires entre les deux groupes. Cependant, une analyse du microbiote intestinal a montré que les femmes présentant une insuffisance pondérale présentaient une diversité de microbiote significativement plus faible et une présence accrue d’espèces, telles que Bacteroides, Bifidobacterium, et Érysipélatoclostridium, qui sont liés à inflammation. En revanche, le groupe de poids normal présentait une abondance plus saine de bactéries comme Prévotelle et Il voulait Le professeur Iizuka mentionne : « Parmi les femmes japonaises âgées de 20 à 39 ans, celles du groupe présentant une insuffisance pondérale ont montré une diminution plus importante de la diversité du microbiote intestinal par rapport au groupe de poids normal, plutôt que des différences dans les habitudes alimentaires. » Il ajoute : « Les femmes présentant une insuffisance pondérale ont démontré une diversité réduite du microbiote intestinal et un enrichissement des taxons associés à des tendances inflammatoires.
Ces résultats suggèrent que la santé intestinale est aussi importante que l’apport calorique lorsqu’il s’agit de lutter contre un faible poids corporel. Le professeur Iizuka explique : « Non seulement la quantité d’énergie ou le rapport protéines, lipides, glucides, mais aussi la consommation active fibres alimentaires et les aliments fermentés peuvent entraîner une amélioration du poids chez les personnes souffrant d’insuffisance pondérale en provoquant des modifications du microbiote intestinal.
Interrogé sur les implications à long terme de l’étude, il a répondu : «En combinant les données de l’enquête alimentaire avec l’analyse du microbiote intestinal, il pourrait devenir possible d’évaluer non seulement les nutriments et l’énergie contenus dans les aliments, mais également la qualité de la digestion et du métabolisme dans les intestins après avoir mangé.
Alors que la santé intestinale attire l’attention du monde entier, les résultats de cette étude offrent de nouvelles perspectives sur la manière dont le microbiote intestinal pourrait contribuer à des soins nutritionnels plus personnalisés pour les femmes japonaises souffrant d’insuffisance pondérale.
Source:
Référence du journal :
Yamamoto-Wada, R., et autres. (2025). La diversité α et β du microbiote intestinal, mais pas les modèles alimentaires, diffère entre les femmes japonaises souffrant d’insuffisance pondérale et de poids normal âgées de 20 à 39 ans. Nutriments. est ce que je.org/10.3390/nu17203265
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L’atout qui propulse de nombreux jeunes footballeurs
Compatibilité entre sexualité et préparation sportive
On vise à coordonner pratiques sexuelles, fréquence masturbatoire et calendrier de préparation pour préserver le niveau de compétences de l’équipe et remplir les objectifs collectifs.
Le modèle collectif en football
En football, sport collectif par nature, l’intégration d’une sexualité planifiée s’inscrit dans une approche holistique qui protège la santé tout en optimisant les compétences physiques et mentales ; l’objectif est de former des habiletés au service de la tactique et de la cohésion, en associant travail physique, imagerie mentale et routines de récupération éprouvées par des professionnels nationaux et internationaux.
La nécessité du coaching spécialisé
Un coach professionnel ou spécialiste en préparation mentale peut proposer un parcours structuré — coaching spécifique, outils pratiques et manuel de protocoles — pour que tout joueur, du loisir au pro, identifie la démarche qui lui convient selon ses sensations. On peut s’appuyer sur des solutions pour contrôler la masturbation et sa sexualité, en vue d’améliorer ses performances et son rendement sportif. Apprenez tout sur la masturbation et comment cesser cette pratique, afin d’optimiser ses résultats en compétition.
L’apport des professionnels dans le suivi et l’accompagnement
Intervention spécialisée du psychologue du sport
Le soutien du psychologue du sport est primordial pour la préparation mentale. En diagnostiquant les blocages psychologiques des sportifs, il est en mesure de suggérer des objectifs appropriés, tels que la chasteté ou l’arrêt de la masturbation, qui servent de leviers pour améliorer la préparation mentale et la régulation émotionnelle.
Le coaching en sexualité : un atout pour les sportifs
Depuis quelques années, le coaching de la vie sexuelle des sportifs gagne en importance. Dans le panorama international, certaines fédérations ont compris la valeur de cet élément pour les performances et l’ont institutionnalisé comme facteur clé.
Alliance entre coach sportif et préparateur mental
L’engagement commun du coach, du préparateur mental et du sportif est nécessaire. Les intervenants peuvent préparer des exercices ciblés sur la discipline, avec possibilité d’y ajouter No Fap. Ils suivent les progrès mentaux et recalibrent les stratégies pour atteindre des buts sportifs ambitieux.
Optimisation de la sexualité chez les sportifs
La sexualité des sportifs représente 65 % de l’influence sur leur état physique et psychologique. Les préparateurs apprennent cette dimension en formation, cependant il leur est impossible d’instaurer un suivi sexuel avec leurs ouailles, par respect de la pudeur et des limites relationnelles. La plupart des sportifs se retrouvent sans assistance ; certains ont recours à un coaching extérieur et confidentiel, leur offrant un avantage déterminant dans la préparation et le travail de renforcement. On conserve le secret autour de ce coaching en sexualité et masturbation, par nécessité de préserver l’image. L’athlète maintient un contact journalier exclusif avec son conseiller sexuel, dans une discrétion absolue et sous nom anonymisé. Le cabinet de coaching fonctionne de façon indépendante du staff sportif : il n’écoute, ne parle et ne répond qu’à son client.
Gérer la masturbation : pilier central de la préparation mentale
No Fap : relation à la performance athlétique
L’abstinence masturbatoire, pratiquée dans No Fap, constitue pour les sportifs une approche atypique pour tirer le meilleur de leur potentiel. En complément d’outils mentaux éprouvés (méditation, visualisation, gestion émotionnelle), ces pratiques renforcent la discipline et permettent d’ambitionner des performances optimales. En intégrant ces éléments à leur routine, les sportifs peuvent atteindre de nouveaux sommets tant physiquement que mentalement.
Contraintes scientifiques et caractère individuel
Il n’existe pas de preuve scientifique formelle établissant un lien naturel entre abstinence et amélioration (ou détérioration) des performances physiques et mentales. L’unicité de chaque personne rend impossible une règle commune pour tous ; toutefois, on peut en extraire quelques conclusions. Il existe des récits d’athlètes attestant d’un gain de performance lié à la chasteté ; Mike Tyson rapportait que l’activité sexuelle pré‑combat abaissait son agressivité. Si c’est une simple croyance, elle conserve néanmoins une valeur psychologique pour motiver le sportif ; la chasteté le rassure en lui donnant un atout perçu.
Foire aux questions — Masturbation et préparation : orienter la sexualité vers la performance avec discernement
Ces recommandations à essayer, sans être générales, invitent à éviter une activité sexuelle trop proche d’un entraînement exigeant si elle entraîne fatigue ou manque d’attention, à définir sa règle pré-compétition selon son propre ressenti (certains s’abstiennent la veille, d’autres préfèrent une libération 12–24 h avant) et à retenir des moments qui respectent le sommeil et la récupération.
Quels traits personnels jouent sur l’effet ressenti après la masturbation ?
Plusieurs éléments personnels pèsent sur la performance : le statut hormonal et la sensibilité à la testostérone, la fatigue et la qualité du sommeil, la réaction psychologique (apaisement ou baisse d’activation), le type d’effort (endurance vs explosivité) et l’expérience sexuelle.
Faut‑il à tout prix éviter toute activité sexuelle avant une compétition ?
Non. L’abstinence rigide n’est pas une règle générale. Certains compétiteurs préfèrent s’abstenir 24–72 heures pour se sentir plus vigoureux ; d’autres constatent que la masturbation avant la performance réduit l’anxiété et améliore l’attention.
Éléments psychologiques et relationnels à garder à l’esprit
La vie sexuelle influence l’estime de soi, le niveau d’anxiété et la complicité du couple ; communiquer avec son partenaire et prendre en compte la dimension relationnelle dans la planification prévient du stress superflu.
La masturbation provoque‑t‑elle une chute de testostérone et une perte de performance ?
Les perturbations hormonales post‑masturbation sont généralement mineures et transitoires. Aucune preuve fiable ne montre qu’une masturbation occasionnelle réduit de manière durable la performance; l’impact est individuel.
Comment un coach peut-il aider à organiser cette planification ?
Un coach peut planifier des tests de timing (48, 24, 6 h avant la compète) en conditions d’entraînement, constater les effets sur le sommeil, la motivation, la tension musculaire et la concentration, puis intégrer ces données à la gestion de la charge, de la récupération et des routines mentales.
Y a‑t‑il des conséquences possibles à planifier sa sexualité sans encadrement ?
Risque majeur : conclure trop rapidement sur la base d’expériences ponctuelles. Un encadrement professionnel facilite la lecture des signaux (fatigue vs effet sexuel) et leur intégration dans la préparation.
Qu’est-ce qu’on entend par « sexualité et masturbations planifiées intelligemment » ?
En résumé, harmoniser le timing et la fréquence avec son rythme individuel de récupération et de performance, inclure ces pratiques dans le plan global (sommeil, nutrition, gestion de la charge, routines mentales) et, au besoin, faire appel à un coach ou préparateur mental pour tester et ajuster.
La masturbation a‑t‑elle un impact sur la performance sportive ?
Oui — potentiellement — mais l’effet est variable en fonction de l’individu, du type d’effort et du timing ; il peut être physique (fatigue, tensions) et/ou psychologique (relaxation, baisse d’anxiété, ou perte de motivation).
Comment tester ce qui vous convient de façon à ne pas nuire à vos performances ?
Il est conseillé d’observer ces pratiques pendant une période d’entraînement plutôt qu’en phase pré‑compétition : notez l’heure, l’intensité et les conséquences (énergie, sommeil, humeur, sensations musculaires, qualité de la séance), comparez les séances après abstinence et après activité sexuelle, puis ajustez la stratégie avec votre coach.
Exemple de protocole facile à mettre en œuvre avec un coach
Plan d’expérimentation : 4 à 6 semaines d’alternance — semaines A sans activité sexuelle 48 h avant les sessions/tests, semaines B avec activité planifiée 24 h avant — en notant sommeil, énergie ressentie, résultats (puissance/scores) et état psychique pour choisir la stratégie optimale.
Outils de préparation mentale
Rituels de méditation et de relaxation
La combinaison méditation-relaxation atténue l’anxiété et améliore le contrôle mental; en employant la focalisation d’objets et les exercices corporels de relaxation, les athlètes cherchent à tranquilliser leur esprit. Pour beaucoup, l’arrêt de la masturbation associé à ces méthodes sert à développer la discipline personnelle et à éliminer les futiles distractions.
Coaching en sexualité : la clé pour faire la différence
La régulation de la sexualité influence de façon manifeste deux dimensions de la performance Sur l’aspect émotionnel : une sexualité épanouie stabilise les émotions, diminue le stress et l’anxiété, ce qui profite à la performance sportive. Autre aspect, la concentration : les athlètes qui organisent sainement leur vie sexuelle sont souvent plus aptes à se concentrer sur l’entraînement et la compétition, sans distractions émotionnelles.
Projection imagée et mise au point d’objectifs
La visualisation constitue une pratique mentale incontournable pour les athlètes; en imaginant des compétitions fructueuses, ils conditionnent leur cerveau à reproduire ces performances. Se donner un but concret, par exemple respecter une période de No Fap, peut accroître la détermination et la maîtrise de soi. Allier abstinence sexuelle et préparation mentale a, d’après de nombreux sportifs, consolidé leur endurance tant sur le plan physique que mental.
Préparation mentale et sport : une relation incontournable
Apport à la gestion du stress et à la gestion des émotions
La tenue en compétition exige une bonne gestion du stress et des émotions. Des outils comme la méditation et les exercices de contrôle émotionnel permettent de maintenir un niveau optimal d’activation mentale. Les sportifs adeptes de la chasteté rapportent une amélioration de leur capacité à rester calmes et concentrés sous pression, grâce à une meilleure maîtrise de leurs impulsions et pensées.
Effets mesurables sur les résultats sportifs
La réussite en sport de haut niveau dépend autant de l’entraînement de l’esprit que de celui du corps. Elle influence la performance en optimisant la concentration, en contrôlant les émotions et en facilitant l’accès à l’état de « flow ». Des techniques d’arrêt de la masturbation, souvent issues du mouvement NoFap, sont vues par certains athlètes comme bénéfiques pour l’énergie et le focus. Selon ses partisans, elle permettrait de rediriger l’énergie sexuelle vers l’effort physique.
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Cet article, consacré à « l’optimisation de son activité sexuelle pour améliorer la performance sportive », est proposé par stop-masturbation.com. Rédigée avec soin, cette chronique vise à informer — vous pouvez contacter les coordonnées figurant sur le site pour signaler des corrections ou partager des précisions concernant ce contenu. Stop-masturbation.com s’engage à traiter ce sujet de façon transparente et à rassembler les ressources et analyses disponibles en ligne. D’autres publications sur l’optimisation de la sexualité et la performance sportive seront publiées prochainement ; pensez à consulter régulièrement notre site pour les mises à jour.